Résumé : C'est la découverte qu'on attendait depuis des siècles ! Le professeur Nils Hazard a reçu une lettre en provenance d'Italie : en fouillant une tombe de la nécropole de Voltuci, ses étudiants en archéologie ont trouvé un texte gravé sur des tablettes d'argile, moitié en étrusque, moitié en latin. Enfin, la langue étrusque va livrer tous ses secrets ! Nils s'envole pour l'Italie, emmenant avec lui Catherine Roque, sa secrétaire et petite amie. Mais c'est un tout autre secret que révèle la tombe étrusque au fur et à mesure que Nils s'y aventure : couloirs murés, pièges mortels et, pour finir, deux cadavres trop frais pour être étrusques, mais déjà trop vieux pour intéresser la police. La police, peut-être, mais certainement pas notre chasseur d'énigmes, qui se demande qui rôde la nuit autour du chantier, pourquoi on lui vole son matériel, et pourquoi Mateo, l'idiot du village, a l'air terrorisé chaque fois qu'il voit une femme vêtue de noir. «Non, crie-t-il, pas la dame, pas la dame qui tue !
Mon avis : Ce tome trois des aventures de Nils Hazard était bien trop court. Je l'ai lu super vite et j'aurais pu le lire encore plus vite si j'avais pas une baisse de régime en lecture en ce moment. Mais en fait, même si je l'ai lu super vite, ça veut pas non plus dire qu'il est extra. Même si l'histoire est bien ficelé (et ce, alors que j'ai deviné un truc important), je me suis un peu ennuyée au début, mais finalement je me suis laissée emportée par cette histoire d'archéologie. J'ai toujours adoré Nils, bien qu'il m'ai légèrement déçu à quelques endroits, mais bon, on ne peux pas le changer. J'adore toujours sa relation avec Catherine, et j'aime sa façon de penser et de trouver la solution aux énigmes qui lui barrent le chemin. Son entêtement me fait sourire aussi.
Dans ce tome j'ai également adoré Mateo, bien qu'on ne le voit peu de temps, parce que j'aimais sa façon d'être, de parler, et qu'il est vraiment un personnage clé.
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