Résumé : «Ce carnet, c’est ton héritage. Tes soeurs auront le reste, mais crois-moi, je te lègue le plus précieux de mes biens, et tout l’argent du monde ne le remplacerait pas.»
Quel choc pour ce jeune homme lors de l’ouverture du testament de son grand-père : il ne lui a rien laissé ! Rien à part un vieux carnet vierge au cuir râpé. Pour tout héritage, cent pages blanches qui vont rapidement dévoiler leur secret…
Mon avis : 100 pages blanches est un roman basé sur un carnet assez particulier. Un carnet au pouvoir assez étrange, mais qui a finalement un sens philosophique. Mêlant ainsi le passé, et le futur un peu et puis surtout le présent, le narrateur (dont on ne connais pas le nom (et c'est pas le premier Cyril Massarotto que ça fait ça) évolue peu à peu en même temps qu'il écrit dans ce carnet, et qu'il rencontre des personnes qu'il a déjà vu et que ses relations évoluent.
C'est vraiment beau, et on reconnait bien là, la plume fluide et légère de l'auteur qui nous entraine au fil des pages sans qu'on en perde une goutte
Le narrateur découvre des choses et rencontre Charlotte qui était tout simplement trop mignonne et que j'avais envie de câliner très fort. Et puis surtout, il supporte Julia que je n'ai pas aimé du tout du début à la fin, et surtout à la fin en fait. Julia, c'est le genre de personnage, que s'il existait pas, ça serait dix fois mieux et tout le monde il serait content. Mais non, elle existe bien, elle prend de la place, elle m'a agacé et je la hais. Très fort. Par contre j'aime beaucoup Clarisse, ou encore Mike ou même sa grand mère et aussi les jumelles.
La fin m'a donné envie de pleurer mais je m'y attendais, et je m'attendais même à pire.
Bref, j'aime beaucoup, et cet auteur, sans être un de mes auteurs préférés, sais me plaire.
S'il pouvait écrire des trucs moins tristes, ça m'arrangerais.
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