Holes de Louis Sachar

Résumé : Stanley Yelnats, a kid who is under a curse. A curse that began with his no-good-dirty-rotten-pig-stealing-great-great-grandfather and has since followed generations of Yelnats. Now Stanley has been unjustly sent to a boys' detention center, Camp Green Lake, where the warden makes the boys "build character" by spending all day, every day, digging holes five feet wide and five feet deep.

Mon avis : Cette fois, c'est la version originale de mon livre préféré que j'ai lu. Il  y avait des choses que je ne comprenais pas, mais l'ayant déjà lu trois fois je pense le connaître par coeur sans problème. J'ai aimé retrouvé les personnages que j'affectionne tant, avec cette histoire de destins recroisés qui sans cesse se mêlent à l'histoire. Plus je le lis et plus je me rend compte que Louis Sachar laisse des indices partout où il va et qu'il faut juste les attraper au bon moment. L'anglais est en somme assez facile, et maintenant que j'ai pu comparer avec le français, je dirais que la traduction que l'on a est fidèle au style très vif de l'auteur. J'ai de nouveau aimé toute son ironie, la leçon indirect qu'il nous donne sur les relations raciales, les histoires de famille, et la stupidité de l'humain.

J'ai aimé Zéro, tout comme Stanley, j'attendais chaque évènement avec hâte, je suivais la comptine en la relisant quinze mille fois tellement je l'adore, alors que quand on regarde elle veut pas dire grand chose qui est en lien avec l'histoire. J'ai aimé observer tous les entrechoquements des morceaux du puzzle qui se relient, et également lire mes passages préférés. J'ai encore détesté la plupart des gamins comme Squid (Calamar), X-ray, Zigzag mais par Armpit (Aisselle), parce que c'est un bon gamin quand même. J'ai ri, j'ai un peu serré les dents, j'ai levé les yeux au ciel, et je me suis encore posé la question sur le pourquoi du comment je peux aimer ce livre au sujet qui pourtant, ne me passionne certainement pas.

Mais c'est bien fait, bien écrit, et l'on se moque que le sujet nous plaise ou pas, parce que tout s'entrelie et qu'on a qu'une envie : Savoir où tout cela mène.